Heurs et malheurs d’amateurs : je suis trop grosse

Que tu commences tardivement la danse classique ou, pire, que tu t’y remettes après de nombreuses années d’abandon, le choc du miroir peut être extrêmement rude et s’installer durablement comme un ennemi de ta pratique. Ce fut mon cas et ça l’est encore, dans une moindre mesure. Si tu te reconnais dans ces lignes, j’espère qu’elles pourront t’apporter quelque réconfort.

Désolée pour nos camarades masculins : je me suis permis de féminiser le titre d’emblée parce qu’il me semble que ce complexe, au cours de danse, est surtout celui de ces dames.

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